A l’initiative de la ville, deux écoles vont participer à des opérations en faveur de l’environnement. Dans leur quartier, les enfants prendront conscience des conséquences de l’activité humaine. Une façon concrète d’apprendre l’éco-citoyenneté.

Développer une conscience écologique et citoyenne chez nos jeunes Maxipontains. C’est avec cette volonté que la municipalité à proposer aux écoles de prendre part à des actions en faveur de l’environnement.

Pour que l’éco-citoyenneté devienne un réflexe, un mode de vie, une philosophie, nos futurs citoyens de demain doivent comprendre pourquoi et comment ils peuvent agir. Au-delà de la sensibilisation, ils passeront donc à l’action ! Durant le mois de mai, ils iront sur le terrain, dans leur quartier, constater les conséquences de l’activité humaine sur le milieu dans lequel ils vivent.

La première opération a été menée le lundi 12 mai par deux classes de l’école Robert Desnos, située dans le quartier de Les Terriers. Déjà sensibilisés par leurs enseignants au recyclage, ces élèves de CM1-CM2 ont ramassé les déchets qui jonchaient le sol : mégots, emballages plastique, canettes, papiers … Une façon concrète pour les enfants, de prendre conscience de certains actes et de s’interroger sur leur responsabilité.

La seconde sera menée dans quelques jours par trois classes de l’école Adrien Bonnel. Les quelque 74 élèves participeront à une opération de ramassage des mégots dans des lieux jugés critiques par les agents de la ville chargés du nettoyage.

Depuis 2014, la municipalité a fait de la propreté son cheval de bataille, mettant en place une brigade propreté, installant de nouvelles poubelles, augmentation la rotation des balayeuses… A coup de campagnes de communication, elle tente d’éveiller les consciences et appelle à la responsabilité de tous pour maintenir un cadre de vie agréable.

« La protection de l’environnement, la préservation de la nature s’apprend dès le plus jeune âge. Nos écoliers seront les citoyens de demain. C’est à eux qu’il reviendra de prendre soin de la planète », souligne Arnaud Dumontier.