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Les sujets qui touchent à la santé des consommateurs et à leur alimentation démultiplient le potentiel de viralité. prima91 / stock.adobe.com

ENQUÊTE - Les entreprises sont désormais contraintes de réagir au plus vite pour éviter la propagation des polémiques et autres «bad buzz». Mais les réseaux peuvent aussi être leurs alliés pour désamorcer des crises avant qu’elles ne naissent.

Un coup de tête d’une star du football contre son entraîneur sème la panique lors d’un dîner de gala. Une insulte raciste est lâchée : « Sale toubab ! » La vidéo se répand comme une trainée de poudre sur les réseaux sociaux. En l’espace de quelques minutes, elle est vue 610 000 fois et l’auteur du coup de tête se retrouve au centre d’une course-poursuite filmée en direct sur TikTok. Cette mésaventure est le point de départ du scénario de La Fièvre. La nouvelle série de Canal+ raconte les déboires d’un club fictif sur fond de malaise identitaire dans le pays… et l’irruption d’une agence spécialisée pour déminer la crise.

Comme dans La Fièvre, la montée en puissance des réseaux sociaux a bouleversé la communication de crise, en particulier dans le monde feutré des entreprises. Le phénomène s’est accéléré ces cinq dernières années. « Nous faisons face à une intensification des impacts et à une accélération de la temporalité, qui obligent à aller plus vite dans le “damage control”

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«Le moindre faux pas peut entraîner une mise en cause» : quand les réseaux sociaux font vivre l’enfer aux experts de la communication de crise

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