aufeminin, marque média aux 6,6 M d’abonnés cross plateformes et 6,4 M de visiteurs uniques mensuels sur le web*, lance « La France au féminin », une collection de portraits documentaires, présentés par Enora Malagré, figure médiatique engagée.
Un nouveau format sociétal fort pour porter la parole des femmes des territoires
A l’approche des élections municipales et à moins de deux ans des élections présidentielles, aufeminin s’écarte des récits sociaux urbanistes les plus courants pour donner la parole aux femmes invisibilisées ou peu entendues à travers les territoires.
La marque média produit « La France au féminin », une collection de portraits documentaires tournés dans toute la France. Chaque épisode propose un portrait de femme singulier, en lien avec un enjeux de société, et abordé à travers le prisme de son travail et de sa vie intime : la justice vue par une juriste aux affaires familiales, l’accès aux soins vue par une infirmière en milieu rural, l’entreprenariat vue par la fondatrice d’un salon de coiffure, etc.
Des récits qui livrent les expériences concrètes de femmes ancrées dans leurs territoires, avec pour ambition de faire remonter dans le débat publique les grandes problématiques sociales vécues par les femmes.
Dans le 1er épisode de cette série documentaire, Enora Malagré part à la rencontre d’Ornella, une patronne de propre son salon de coiffure dans le Val d’Oise. Entre fous rires et confidences, Ornella partage les coulisses de son métier et se livre sur son parcours d’entrepreneuse, ses doutes, ses difficultés et sa maternité. 👉 à découvrir
Un documentaire incarné par Enora Malagré
Pour ce documentaire, aufeminin a fait appel à Enora Malagré, chroniqueuse, animatrice, comédienne et réalisatrice bien connue du public français. Également très active sur des projets plus personnels et militants sur des questions de santé, de condition féminine ou de transmission, Enora se distingue par un ton libre, engagé, sans concession, et réunit notamment plus de 420 000 fans sur Instagram.
Avec La France au féminin, Enora s’engage dans un documentaire qui lui ressemble : authentique, accessible, profondément humain… et enfourche son vélo rose !
« Ce projet me tient particulièrement à cœur.
J’ai été élevée en Bretagne, par une maman qui a sué sang et eau, qui a eu une grande pénibilité dans son travail et qu’on n’a pratiquement pas entendue, alors je crois que c’est un peu pour elle que j’ai envie de faire cette série de portraits, mais un peu aussi pour toutes les femmes que je rencontre toute l’année et qui me parlent à travers mon compte Instagram et à travers les émissions de télé que j’ai pu animer, et qui me rappellent tous les jours que cette 3ème vague de féminisme, il faut qu’elle passe le périphérique parisien. Je crois qu’on a terriblement envie de les entendre. La vie est différente en région, les choses avancent moins bien, en tout cas pas assez vite. Il est grand temps de leur donner la parole. » – Enora Malagré, chroniqueuse, animatrice, comédienne et réalisatrice –
Une volonté à contrecourant : approfondir le narratif
A l’heure où les formats courts dominent sur les réseaux sociaux, la rédaction d’aufeminin privilégie avec La France au féminin un format long, incarné et sincère, permettant d’aborder en profondeur les enjeux sociétaux.
D’une durée de 15 minutes, chaque épisode suit une progression émotionnelle mêlant témoignage, images d’archives personnelles, respiration poétique (nature, vélo, paysage) et séquence de vie.
Enora Malagré interviewe les femmes à travers les régions, sans filtre ni artifices, avec écoute et partage, dans une posture bienveillante et horizontale.
Et avec pour fil rouge… Le vélo (rose), véritable symbole de liberté qui l’accompagne dans tous ses déplacements.
Comme elle l’exprime, « Il est temps de leur donner la parole ! ».
« Nous avons souhaité raconter la France d’aujourd’hui par celles qui la font vivre, à travers des histoires sincères, incarnées. La France au féminin est un véritable documentaire humain et immersif ; une œuvre profondément ancrée dans le réel, à mi-chemin entre le carnet de route, le portrait brut sans voix-off et l’entretien intime empathique. » – Claudia Da Silva, Lead social media
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