S’il y a bien deux choses qui riment avec “été”, c’est “spontanéité” et “convivialité”. L’application au domaine culinaire est donc toute trouvée : l’offre de fin de journée se doit de commencer tôt (dès la sortie des bureaux ou à la fermeture des lieux culturels) et inviter au rassemblement et au partage.
Prévoir une ouverture du soir plus tôt, vers 18h30-19h, à l’heure de l’apéritif, au moment où l’on a encore envie de profiter de sa journée (et du soleil !), c’est capter un passage qui a envie de s’arrêter, des personnes qui souhaitent prendre un moment pour elles. Elles ne sont peut-être pas en vacances, mais elles méritent bien un repas sympa, bien entourées.
Sur la table, l’offre est simplifiée, plus libre : on pense aux assiettes à partager, à associer à volonté, aux planches de dégustation originales qui accompagnent une boisson fraîche, un verre de vin, un cocktail du moment. Des ajustements qui ne viennent pas dénaturer votre identité culinaire, qui lui donnent une nouvelle forme parfaitement en phase avec l’été et ses envies de liberté.
